Un petit moteur logé dans la roue, une batterie dissimulée dans la potence, un guidon… et le tour est joué ! Derrière sa simplicité apparente et ses allures de jouet, la trottinette électrique intéresse aujourd’hui de plus en plus de citadins qui cherchent une alternative à la marche, au vélo ou aux transports en commun pour leurs petits déplacements du quotidien dans les grands centres urbains.
Facile à conduire, elle est plutôt pratique : on peut aisément la plier pour l’emmener dans le métro ou le bus, la charger dans le coffre de sa voiture ou la monter dans son appartement. Les curieux peuvent désormais faire leurs premiers tours de roue sans difficulté. Créées en Californie et déjà bien implantées aux Etats-Unis, les flottes de trottinettes électriques en libre-service arrivent depuis peu en Europe.
Attention tout de même : dans la plupart des pays européens, le code de la route n’intègre pas encore de dispositions spécifiques à ces engins électriques. En France, la législation les rangera prochainement dans une nouvelle catégorie de véhicules qui devraient être autorisés sur les pistes cyclables et la chaussée dans les zones limitées à 30 Km/h. En Suisse, les modèles qui roulent à moins de 20 Km/h sont déjà autorisés sur les pistes cyclables, mais interdits sur les trottoirs. Partout, il est demandé aux adeptes de ces nouveaux engins de faire preuve de prudence en attendant que des réglementations plus précises voient le jour.
Vous pouvez acheter votre trottinette « Z.E. » dans le réseau Renault ! Disponible dans une dizaine de pays dont la France, l’Allemagne, la Belgique ou l’Ukraine, cette trottinette électrique pliante de seulement 7 Kg offre une autonomie de 13 Km, se recharge en 3 ou 4 heures, et autorise une vitesse de pointe de 24 Km/h avec une capacité d’emport de 125 Kg.